et je voyage sur des chevaux vapeur
des chevaux fous d’une étrange couleur
des visions électriques des visions électriques
et je m’envole sur d’immenses planeurs
des tapis turcs d’une infinie douceur
des lumières électriques des lumières électriques
et je me balade sur de grands écouteurs
et je divague sur mon poste émetteur
des rumeurs électriques des rumeurs électriques
et je frissonne sur des synthétiseurs
et je bourdonne sur des amplis-tuners
des guitares électriques des guitares électriques
et je m’endors et je m’endors.
Paroles et musique Isabelle Mayereau